Feu d’habitation à La Londe-les-Maures : deux étages touchés, sept évacués. Intervention rapide des pompiers, feu sous contrôle.
feu d’habitation La Londe – CREDIT : VarActu
Depuis 11h48, les sapeurs-pompiers du Var interviennent rue Eugène Baboulène, à La Londe-les-Maures, pour un violent feu d’habitation. L’incendie s’est déclaré dans un immeuble de quatre étages, touchant les 2ᵉ et 3ᵉ niveaux et impactant deux appartements. Grâce à une mobilisation rapide et efficace, la situation est en voie d’amélioration.
Une intervention rapide pour éviter le pire
Dès leur arrivée, les pompiers ont déployé un dispositif conséquent pour circonscrire les flammes et protéger les habitants. Deux lances à incendie ont été établies, permettant de ralentir la progression du feu. Actuellement, l’évolution est favorable, bien que les dégâts soient importants dans les appartements concernés.
Une prise en charge des victimes
Sept personnes, sorties du bâtiment avant l’arrivée des secours, ont été prises en charge par les équipes sur place. La majorité d’entre elles a été affectée par les fumées toxiques. Une personne a été transportée en urgence au centre hospitalier pour des soins plus approfondis, tandis que les autres ont été examinées sur place par le véhicule infirmier.
Un dispositif de grande ampleur
L’ampleur de l’incendie a nécessité la mobilisation de 30 sapeurs-pompiers et plusieurs moyens spécialisés :
- Deux véhicules de lutte contre les incendies pour attaquer les flammes.
- Une grande échelle, indispensable pour accéder aux étages touchés.
- Quatre ambulances, mobilisées pour les victimes exposées aux fumées.
- Un véhicule infirmier pour prodiguer des soins immédiats.
- Un véhicule de soutien aux opérations logistiques, garantissant une gestion fluide des ressources.
- Deux véhicules de commandement, pour coordonner les équipes sur le terrain.
Une zone sécurisée, mais sous surveillance
Les secours restent sur place pour sécuriser le bâtiment et s’assurer que l’incendie ne reprenne pas. Les habitants de l’immeuble touché doivent encore attendre l’évaluation des dégâts avant de pouvoir réintégrer leurs logements.