Pâques 2025 : des Varois racontent avec humour leur overdose de chocolat. Témoignages gourmands et pleins d’autodérision.

chocolat paques 2025

témoignage Varois trop de chocolat Pâques – CREDIT : VarActu

Entre traditions, gourmandise et excès, de nombreux Varois avouent avoir un peu abusé du chocolat cette année à Pâques. Témoignages légers mais savoureux.

Une tradition bien ancrée dans les foyers varois

Chaque année, à Pâques, les rayons des supermarchés débordent de lapins, œufs et autres poules en chocolat. Si cette tradition fait le bonheur des petits comme des grands, certains Varois reconnaissent qu’ils ont un peu exagéré cette fois-ci. « Franchement, j’adore le chocolat, mais là, je crois que j’ai atteint ma limite », plaisante Julie, 29 ans, habitante de La Seyne-sur-Mer. « Entre les cadeaux de mes parents, ceux de mon copain, et ceux que j’ai moi-même achetés en promo, j’en ai pour deux mois ! »

Un excès qui fait rire… et parfois grimacer

Emmanuel, 58 ans, de Toulon, témoigne lui aussi avec amusement : « Les petits-enfants sont venus, ils sont repartis avec leurs chocolats, mais bizarrement, c’est moi qui ai tout fini. Maintenant, j’en peux plus. Rien que l’odeur, ça me retourne ! » À Fréjus, Emma, maman de trois enfants, confie : « On a planqué les chocolats pour éviter qu’ils ne se gavent, mais au final, c’est mon mari et moi qui avons tout mangé le soir en douce… Résultat : trois kilos en plus sur la balance ! »

Des initiatives pour limiter l’excès… ou pas

Certaines familles ont tenté de contrôler les quantités cette année, sans grand succès. « On s’était dit : un seul œuf par personne, pas plus. Mais en voyant toutes les promotions, on a craqué », avoue Jérémy, 35 ans, de Toulon. « Le pire, c’est que maintenant, on en a partout : au frigo, dans les placards, même au boulot. »

Et maintenant ? Place à la détox… ou à la générosité

Après l’orgie pascale, beaucoup songent à faire une pause. « Je vais essayer de ne pas toucher à une tablette avant au moins un mois », promet Lila, 41 ans, de Brignoles. D’autres envisagent de donner leur surplus : « On pense en apporter à l’école ou à une association, histoire que ça serve au lieu de traîner », conclut un père de famille de Hyères.