Fin des illuminations ce dimanche à Sanary. Un enchantement lumineux qui prend soin de l’environnement.
illuminations Sanary – CREDIT : VarActu
« Ca va manquer ! », c’est le ressenti de nombreux varois. La ville de Sanary, connue pour ses splendides illuminations de fin d’année, s’apprête à éteindre ses lumières ce dimanche 7 janvier, marquant ainsi la fin d’une période festive célébrée par des milliers de personnes. Cette année, l’événement a pris une tournure particulièrement écologique.
Des festivités lumineuses écoresponsables
Chaque année, Sanary se transforme en un véritable havre de lumière, attirant environ 200 000 visiteurs. Cette tradition, qui s’est enrichie au fil du temps, met aujourd’hui l’accent sur l’écologie. L’utilisation d’ampoules LED basse consommation a été une initiative majeure, réduisant considérablement l’empreinte carbone de l’événement. Dans son discours, le maire Daniel Alsters a souligné ces efforts : « Nous avons utilisé des LEDs et limité l’éclairage de 17h à 23h. »
L’impact des décorations lumineuses
L’engagement écologique de Sanary est d’autant plus notable que dans les grandes villes, la consommation énergétique liée aux illuminations de fin d’année représente en moyenne 0,35% de la facture annuelle d’éclairage urbain. Ces efforts sont salués par les habitants et les visiteurs. « C’est un spectacle magique, et le fait qu’il soit écoresponsable le rend encore plus spécial », partage Hugues, un habitant.
Le démontage des décorations : un autre aspect de la tradition
Le 7 janvier marquera le début du démontage des décorations, notamment sur les pointus traditionnels du port. Cette étape symbolise non seulement la fin des festivités, mais aussi la reprise des activités maritimes habituelles, perpétuant une autre tradition chère à Sanary.
Un exemple à suivre
Sanary, par sa démarche écoresponsable, devient un exemple à suivre pour d’autres villes. En combinant la magie des festivités avec le respect de l’environnement, la ville démontre qu’il est possible de célébrer tout en préservant notre planète.