En un retournement de situation inattendu, le pass rail promis par Emmanuel Macron va devenir réalité en 2024, marquant une victoire pour la mobilité des jeunes.
détention catastrophique de chats et chiens – CREDIT : Var Actu
Un revirement inattendu
Quelques heures à peine après une annonce qui semblait enterrer l’espoir d’un pass rail estival pour les jeunes cette année, le ministre délégué aux Transports, Patrice Vergriete, a livré une nouvelle inespérée : tous les feux sont au vert pour sa mise en œuvre en 2024. Cette déclaration, qui survient après un désaccord apparent avec trois régions clés, marque un tournant décisif pour la mobilité des jeunes en France.
La mobilisation fait la force
L’issue positive de ce dossier complexe s’attribue largement à la mobilisation de Carole Delga, présidente de l’Occitanie et de l’association Régions de France, ainsi qu’à la réactivité des présidents de région. Ce revirement souligne l’importance d’une prise de conscience collective pour surmonter les impasses administratives et financières. Patrice Vergriete souligne l’effort considérable consenti pour donner vie à ce projet, désormais financé à 80 % par l’État, et dont le budget s’élève à 15 millions d’euros.
Une victoire pour la jeunesse
Ce pass rail, destiné aux moins de 27 ans et permettant un accès illimité aux trains Intercités et TER durant l’été, est salué comme une avancée majeure pour la jeunesse. Avec un tarif fixé à 49 euros, il promet de faciliter grandement les déplacements estivaux, soutenant ainsi l’autonomie et la découverte culturelle des jeunes.
Des réactions mitigées
Bien que l’accord soit désormais unanime, le chemin vers cette entente a été semé d’embûches. Des présidents de région, initialement réticents, ont exprimé leurs inquiétudes sur des points spécifiques, notamment la prise en compte de l’Ile-de-France dans le dispositif et la répartition des coûts entre l’État et les régions. Ces préoccupations soulignent les défis à relever pour assurer l’équité et la pérennité du passe rail.
Le gouvernement et les régions ont réussi à trouver un terrain d’entente, ouvrant la voie à la mise en place du pass rail pour les jeunes. Cette initiative, bien que complexe dans sa réalisation, représente un pas significatif vers une mobilité plus inclusive et adaptée aux besoins de la jeunesse.
Pas une revolution, car segregation et billet seulement pour les moins de 27 ans en France.
En Allemagne, pas de critere d’age-