Dans une annonce qui a de quoi surprendre plus d’un parent, les organisateurs des Jeux Olympiques de Paris 2024 ont décidé d’imposer une nouvelle mesure : désormais, même les bébés devront être munis d’un billet pour assister aux épreuves.
Les bébés devront avoir leur billets pour le JO – CREDIT : Var Actu
Cette information, relayée par nos confères de BFMTV, a immédiatement déclenché une vague de réactions sur les réseaux sociaux et parmi les futurs spectateurs de l’événement.
Une décision qui fait débat
À première vue, cette mesure peut sembler étrange, voire déraisonnable, pour de nombreux parents qui avaient prévu d’assister aux Jeux avec leurs tout-petits. Les organisateurs justifient cette décision par des questions de sécurité et de capacité d’accueil des différents sites olympiques. En effet, chaque spectateur, quel que soit son âge, est considéré comme occupant une place, nécessitant ainsi un contrôle strict des entrées.
Entre compréhension et frustration
Si certains comprennent les raisons de sécurité et de gestion des flux de personnes évoquées par les organisateurs, beaucoup s’interrogent sur la mise en place de solutions alternatives.
Les varois n’ont pas tardé à réagir
- « Incroyable, maintenant même les bébés doivent payer pour les JO ! Où va-t-on ? » s’exclame Thomas, de Hyères, stupéfait par cette décision.
- Juliette, jeune maman toulonnaise, partage son incompréhension : « C’est absurde de faire payer un billet pour un bébé qui ne comprendra même pas ce qui se passe. On pensait vivre cet événement en famille, mais cela devient compliqué financièrement. »
- « Cela me semble être une mesure disproportionnée. Comment justifier le coût d’un billet pour un enfant qui tiendra à peine sur nos genoux ? » interroge Maxime, de La Seyne-sur-Mer, perplexe devant cette annonce.
- « Je trouve cela exagéré. Les JO sont censés être un moment de partage et d’unité, pas une source de stress supplémentaire pour les familles, » confie Sarah, de Saint-Tropez, déçue par cette nouvelle.
- « Je comprends la nécessité de réguler l’affluence, mais il devrait y avoir des exceptions pour les tout-petits. Cela risque de dissuader de nombreuses familles de participer, » ajoute Émilie, de Brignoles, préoccupée par les implications de cette mesure.