Mardi soir, une trentaine de militants de l’association One Voice se sont rassemblés devant Marineland d’Antibes pour protester contre le projet de transfert des trois orques vers le Japon.

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One Voice Antibes – CREDIT : Wikimedia commons

Malgré les obstacles, l’espoir et la détermination demeurent parmi les défenseurs de la cause animale.

Mobilisation persistante malgré les défis

La journée avait été chargée pour les militants de One Voice. Ils avaient observé le va-et-vient autour de Marineland d’Antibes, en alerte face à la présence d’officiels japonais et aux préparatifs de transfert. Muriel Arnal, présidente de l’association, exprime sa détermination et son espoir malgré les circonstances. Ses yeux trahissent une émotion palpable face à la cause qu’elle défend : la protection des orques, des êtres qu’elle décrit comme « merveilleux ».

La lutte contre le commerce des orques

La question financière se pose : six millions d’euros sont évoqués pour le transfert des orques. Une somme qui, selon Muriel Arnal, ne devrait pas justifier la transaction des animaux. Elle souligne l’importance de témoigner contre ce qu’elle qualifie d' »ignominie », une pratique cruelle envers les animaux. Sa présence sur le terrain, aux côtés d’autres militants, est un symbole fort de cette lutte.

Les prochaines étapes de One Voice

One Voice ne compte pas s’arrêter là. Les militants envisagent de poursuivre leur surveillance de Marineland et de mener des actions d’information auprès du public, surtout si les orques sont finalement transférées. L’objectif est clair : sensibiliser les visiteurs à la cause animale et les dissuader de soutenir des établissements impliqués dans de telles pratiques.

Réponse des autorités

Face aux déclarations du secrétaire d’État niant toute demande d’exportation des orques, Muriel Arnal reste sceptique. La situation reste floue quant au futur des orques, laissant place à des interrogations sur le « quand » et le « où » de leur éventuel transfert.