En deuil, le Marineland d’Antibes annonce la perte d’Inouk, une orque mâle, amplifiant le débat sur les conditions de captivité des cétacés.

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marineland antibes – CREDIT : Wikimédia Commons

Un nouvel événement tragique frappe le Marineland d’Antibes, où Inouk, une orque mâle âgée de 25 ans, vient de décéder. Ce triste événement survient seulement cinq mois après la perte de Moana, une autre orque du parc. La communauté d’Antibes et les équipes du parc animalier sont profondément affectées par cette nouvelle perte, soulignant une fois de plus les défis associés à la captivité des cétacés.

Une série noire pour le parc animalier

Ce jeudi, le Marineland a annoncé avec tristesse le décès d’Inouk, marquant un second deuil pour le parc en l’espace de quelques mois. « C’est une terrible nouvelle qui touche profondément les soigneurs et toutes les personnes impliquées, ayant vu grandir Inouk depuis sa naissance », a partagé le parc dans un communiqué. Une autopsie est prévue pour déterminer la cause exacte de sa mort, rappelant le décès de Moana en octobre dernier, attribué à une septicémie.

Un contexte controversé

La mort d’Inouk intervient dans un climat de polémique, notamment autour des rumeurs de transfert des orques vers le Japon. Cette situation réactive le débat sur le bien-être et l’avenir des orques en captivité en France. Le parc a, par ailleurs, annoncé le report des spectacles d’orques qui étaient prévus pour samedi, une décision prise dans le respect du deuil et de la sensibilité du moment.

Vers un avenir incertain pour les cétacés en captivité

Le décès d’Inouk met en lumière les difficultés et les questions éthiques entourant la captivité des animaux marins. La disparition successive de deux orques en si peu de temps soulève des interrogations sur les conditions de vie des cétacés dans les parcs animaliers et interpelle sur le futur de ces géants des océans loin de leur habitat naturel.