Samedi 21 octobre, une marche blanche en mémoire de Soucayna, une jeune étudiante de 23 ans tragiquement décédée à cause d’une balle perdue, a eu lieu à Marseille.

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Soucayna marche blanche – CREDIT : Var Actu

L’événement a rassemblé un cortège composé de mères de famille, d’amis de la fac, de résidents du quartier et de proches de la victime. Soucayna est devenue une triste victime collatérale du trafic de drogue qui sévit dans la ville. Cette marche témoigne de la douleur des marseillais face à cette tragédie et de son désir de mettre fin à la violence liée au narco-banditisme qui a déjà coûté la vie à 43 personnes depuis le début de l’année à Marseille.

Le décès tragique de Soucayna a choqué la communauté marseillaise et a suscité une vague d’indignation. La jeune étudiante de 23 ans se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, tombant malheureusement sous le feu croisé de criminels liés au trafic de drogue dans la ville. Son décès brutal a illustré de manière poignante les conséquences dévastatrices de la violence qui règne dans certains quartiers de Marseille.

La marche blanche a été organisée pour rendre hommage à la vie de Soucayna, qui a été tragiquement interrompue. Elle a réuni une variété de personnes touchées par cette perte, témoignant ainsi de l’impact de cette tragédie. Les participants venaient de tous horizons, reflétant l’unité dans le deuil et le désir collectif de mettre un terme à la spirale de violence qui continue de sévir dans la ville.

Le narco-banditisme, un fléau qui continue de faire des victimes à Marseille, demeure au cœur des préoccupations. La mort de Soucayna a mis en lumière la nécessité urgente de prendre des mesures pour endiguer cette violence meurtrière. Les résidents de Marseille appellent à une action ferme des autorités pour démanteler les réseaux de trafic de drogue et rétablir la sécurité dans les quartiers les plus touchés.

Cette marche blanche est un cri de désespoir et d’appel à la paix. Les mères de famille, les amis, les voisins et les proches de Soucayna veulent que sa mort ne soit pas vaine. Ils demandent que sa mémoire serve de catalyseur pour un changement positif, pour que d’autres ne subissent pas le même sort tragique.