Le Rugby Club Toulonnais a officialisé ce mardi matin une nouvelle surprenante : Ma’a Nonu, l’ancien trois-quarts centre international néo-zélandais, fait son grand retour au sein du club en tant que joker médical jusqu’à la fin de la saison.
Un come-back inattendu sur les terrains du Top 14
Après avoir porté les couleurs du RCT entre 2015 et 2018, puis lors de la saison 2020-2021, Ma’a Nonu, 42 ans, va de nouveau fouler les pelouses du championnat français. Le club varois, en quête de renforts pour pallier certaines absences, a fait appel à son ancien joueur, qui évoluait ces dernières années à San Diego, aux États-Unis.
Ce retour s’inscrit dans un contexte particulier. Initialement, Ma’a Nonu devait seulement passer deux semaines à Toulon pour observer les entraînements du club et entamer une formation d’entraîneur. Mais face aux besoins du RCT, il a finalement accepté de reprendre du service et de revêtir le maillot rouge et noir.
Un renfort d’expérience pour le RCT
Avec plus de 100 sélections avec les All Blacks et une carrière riche en succès, Ma’a Nonu représente un atout de poids pour Toulon. Son expérience, son physique impressionnant et sa vision du jeu pourraient être précieux pour l’équipe de Pierre Mignoni dans la dernière ligne droite du Top 14.
Le RCT, actuellement engagé dans la lutte pour les phases finales, pourra ainsi compter sur le double champion du monde (2011 et 2015) pour apporter de la puissance et de la stabilité au centre du terrain.
Une attente forte du côté des supporters
L’annonce du retour de Nonu a déjà suscité un vif enthousiasme chez les supporters toulonnais, qui ont gardé un excellent souvenir de ses passages précédents au club. Son impact sur le jeu et son charisme en font un joueur emblématique du RCT, et beaucoup espèrent qu’il saura une nouvelle fois faire la différence sur le terrain.
Désormais, il ne reste plus qu’à voir quand Ma’a Nonu effectuera son premier match sous ses nouvelles (anciennes) couleurs. Son retour tant attendu devrait rapidement marquer les esprits en Top 14.
