Dès le printemps 2025, les voitures-radars banalisées débarquent en Provence pour renforcer la lutte contre les excès de vitesse sur les routes secondaires.
Voiture-radar – CREDIT : Wikimedia commons
Des voitures-radar bientôt sur les routes provençales
Les voitures-radars, redoutées par les conducteurs, vont faire leur apparition en Provence-Alpes-Côte d’Azur dès le printemps 2025. Jusqu’ici épargné par ces dispositifs, le sud de la France rejoint le mouvement après d’autres régions comme la Normandie ou la Nouvelle-Aquitaine. Le parc national, actuellement composé de 400 véhicules, devrait s’étendre à environ 550 unités d’ici la fin de l’année.
Déploiement dans les nouvelles régions
En 2025, trois nouvelles régions accueilleront ces voitures banalisées : Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Dans ces zones, les voitures-radars circuleront principalement sur le réseau secondaire limité à 80 ou 90 km/h. Le déploiement sera progressif et verra 126 nouveaux véhicules opérationnels plusieurs heures par jour, générant les premiers procès-verbaux dès le printemps.
Des modèles et des indices pour les identifier
Les voitures-radars se veulent discrètes, mais certains indices permettent de les reconnaître. Parmi les modèles les plus utilisés figurent la Peugeot 308 et 508, la Ford Focus, la Skoda Octavia et la Dacia Sandero. Visuellement, elles se distinguent par des capteurs sur le bouclier avant, un boîtier visible sur le tableau de bord, ou un carré au pare-brise arrière abritant les caméras embarquées.
Un dispositif privé pour des résultats significatifs
La gestion des voitures-radars a été confiée à la société OTC pour une durée initiale de deux ans, reconductible. Chaque véhicule pourrait générer jusqu’à 390 000 euros de recettes annuelles, selon les estimations de la Ligue de défense des conducteurs. Avec un coût annuel moyen de 68 409 € par voiture, le contrat global s’élève à près de 34,5 millions d’euros. OTC recrute actuellement des chauffeurs civils rémunérés 1700 euros brut par mois.
Impact pour les conducteurs provençaux
Le déploiement de ces véhicules privatisés marque une intensification de la lutte contre les excès de vitesse dans le Var et en Provence. En 2025, les automobilistes devront redoubler de vigilance sur les routes secondaires, particulièrement surveillées par ces voitures banalisées.
Et pour les trottinettes électriques sur les nationales ainsi que les voitures sans permis, on fair quoi?????
Plus de voitures sur les routes pour plus de pollution et statistiquement un risque accru d’accident.
Fric ..fric…ho mon fric ..pour les poches de nos élus qui le dépensent sans compter!