Une situation paradoxale se produit chaque année : les locaux désertent les plages, tandis que les touristes sont de retour en masse.
Les locaux désertent les plages – CREDIT : VarActu
Chaque été, les plages du Var sont réputées pour leur beauté et leur attractivité. Cependant, une situation paradoxale se produit chaque année : les locaux varois semblent délaisser les rivages, tandis que les touristes sont de retour en masse. Cette inversion des habitudes interroge sur les raisons qui poussent les habitants de la région à éviter les plages qu’ils affectionnent habituellement.
Le désintérêt des locaux pour les plages: Les plages varoises, qui ont toujours été un lieu de rendez-vous privilégié pour les locaux pendant les mois d’été, connaissent cette année une baisse significative de leur fréquentation par les résidents. Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce phénomène. Tout d’abord, certains habitants du Var préfèrent éviter les plages bondées, souvent saturées de touristes, pour préserver leur tranquillité. De plus, les embouteillages et le manque de stationnement dans les zones côtières peuvent décourager les locaux à se rendre sur les plages. Enfin, l’émergence de nouvelles activités estivales et de lieux de divertissement alternatifs dans les terres attirent également l’attention des Varois.
Pendant ce temps, les touristes affluent dans le Var pour profiter des magnifiques plages méditerranéennes. Les visiteurs étrangers et nationaux, attirés par le climat ensoleillé, les paysages pittoresques et la renommée des plages du Var, remplissent les stations balnéaires et les villages côtiers. Les établissements touristiques, tels que les hôtels, les restaurants et les boutiques, enregistrent une hausse significative de leur activité. Cette affluence saisonnière est une bouffée d’air frais pour le secteur touristique qui a été durement touché par les restrictions liées à la pandémie de COVID-19.
Le phénomène de désertion des plages par les locaux invite à une réflexion sur la relation qu’entretiennent les résidents du Var avec leur environnement estival. Il met en évidence la nécessité de trouver un équilibre entre la préservation des espaces naturels et la satisfaction des attentes des visiteurs. Les autorités locales sont confrontées au défi de développer des politiques touristiques durables qui préservent l’attrait des plages tout en garantissant une qualité de vie satisfaisante pour les habitants.
Pour résoudre ce paradoxe estival, il est crucial de promouvoir la cohabitation harmonieuse entre les touristes et les locaux. Les autorités peuvent mettre en place des mesures visant à améliorer la fluidité de la circulation et à fournir des solutions de stationnement adéquates. Parallèlement, il est essentiel d’encourager les initiatives touristiques responsables et respectueuses de l’environnement, afin de préserver la beauté naturelle des plages du Var.
Merci pour cet article ! Pourriez vous en faire un sur les tapages nocturnes dans nos lotissements si calmes avant l’arrivée de certains touristes arrivent dans le Var.
C’est Infernal !
Ils paient
Ils polluent ( sonores et autres)
Ils donnent l’impression d’être seuls au monde
Varois fermez la!
Si excédés, fatigués, énervés, on appelle la PM on se fait insulter
Alors que faire …qui a une solution pour vivre en harmonie avec certains touristes ….les maires de nos villes?
Les locaux n ont pas envie de payer des parkings pour aller à la plage ,venir boirecun verre etc , avec embouteillages incessants !!!
Comme au grau du roi je plains eux qui habitent près des plages .. cependant le commerce c est le commerce et ….bon courage …j’habite à 8 km alors la nuit je dors bien
Normal, betonisation du bord de mer sous le prétexte de piste cyclables avec perte des derniers emplacements gratuit sur des plages naturelles comme à Sainte-Maxime.
Obligé de marcher des centaines de mètres sur du béton en plein soleil pour trouver une plage gratuite et une eau qui ne ressemble pas à un pédiluve. Totalement à l’opposé des dogmes écologiques actuels sur le réchauffement et la pollution.
Autant attendre que la masse s’en retourne pour retrouver du plaisir et moins de pollution.
Venez sur les plages du Mourillon à Toulon et vous verrez si nous avons notre place , entre ces réunions familiales sans respect
Il est normal qu’ avec toutes les structures estivales admise !!! Qui empestent la frite et le poisson ,on n’ aie pas envie d’ y aller sur nos précieuses plages : y’ a qu’ å voir la plage de la Tortue à Boulouris : un mouchoir de poche PARADISIAQUE , TROIS RESTAURANTS SUR LA PLAGE : ALORS qu’ il y en a déjà 5 sur le quai : c’ est du DÉLIRE 🤪🤯🙃
Bonjour, j’ ai omis de parler de l ‘ odeur et du bruit des scooters des mers ! Quand ils n ‘ ont pas, en plus, comme je l ‘ ai vécu il y 3 semaines ,la musique à tue-tête : ce n ‘ est pas qu ‘ un problème de fluidité du trafic ou de stationnement ( payant), ce dont toutes les incivilités, les pollutions sonores ( moteurs )et olfactives ( restos et mauvaises graisses cuites )
Le tout additionné ça paraît logique que l ‘ on fuie ….ce qu ,’ ont fait les vrais Niçois depuis longtemps.
C’ est un fléau ce tourisme !!!