Dans l’Ouest de Toulon, se déplacer en transport en commun relève du parcours du combattant.
transports en commun – CREDIT : Var Actu
Entre les grèves de train, les pistes cyclables inadaptées et le manque de bus, les habitants sont à bout. Zoom sur cette situation chaotique qui appelle à une révision urgente de la politique des transports.
Les grèves de train : un fléau récurrent
L’un des problèmes majeurs dans l’Ouest de Toulon est sans conteste les grèves de train. Ces mouvements sociaux paralysent régulièrement le réseau ferroviaire, laissant des milliers de passagers sur le carreau. Les alternatives sont rares et les usagers se retrouvent souvent à devoir prendre leur voiture, aggravant ainsi les problèmes de circulation et de stationnement dans la ville.
Pistes cyclables : le danger au tournant
Si l’on pourrait penser que le vélo est une alternative viable, il n’en est rien. Les pistes cyclables de l’Ouest de Toulon sont souvent mal conçues, étroites et partagées avec les piétons ou les voitures. Le risque d’accident est donc élevé et décourage bon nombre de cyclistes potentiels. De plus, l’absence de pistes cyclables sur certains axes majeurs rend la circulation à vélo particulièrement périlleuse.
Le manque de bus : une offre insuffisante
Le réseau de bus, quant à lui, souffre d’un manque flagrant de moyens. Les lignes sont peu nombreuses et les fréquences insuffisantes, surtout en dehors des heures de pointe. Les habitants de l’Ouest de Toulon qui dépendent du bus pour leurs déplacements quotidiens se retrouvent souvent dans des situations compliquées, obligés de prévoir des temps de trajet démesurés pour se rendre à leur destination.
Un appel à l’action
Face à cette situation désastreuse, les habitants de l’Ouest de Toulon réclament des actions concrètes de la part des autorités locales. Des pétitions circulent et des manifestations sont organisées pour attirer l’attention sur ces problèmes de mobilité. Les usagers espèrent que des mesures seront prises rapidement pour améliorer la situation, qu’il s’agisse de renforcer le réseau de bus, de repenser les pistes cyclables ou de trouver des solutions durables aux grèves de train.
Les politiques font tout pour la voiture, et ne se preocupent pas du tout du velo, train, tramway.
La vie pourrait etre tres facile avec des trains , des lignes de tramway, ou des pistes cyclables, mais tout l’argent est passé pour la route ou les autouroutes, donc rien pour le reste…. et avec l’esssence á 2€ le litre, aucune solution alternative n’existe.
Mais tout serait possible, mais aucune volonté car lobby de la voiture trop important.