Le célèbre animateur de télévision, Jean-Pierre Foucault, a été victime d’un double arrêt cardiaque il y a un mois alors qu’il se trouvait à son domicile de Carry-Le-Rouet, dans les Bouches-du-Rhône.
Jean Pierre Foucault – CREDIT : Wikimedia commons
L’animateur star de TF1 a raconté les détails de son épisode cardiaque dans une interview du mardi 9 mai.
En sortant de l’avion à Marignane, Jean-Pierre Foucault a commencé à ressentir une forte oppression thoracique. La douleur a persisté même après avoir demandé un peu d’eau à son épouse. De retour chez lui, il n’a pas réussi à gravir les quelques marches qui le séparaient de la porte d’entrée. Il s’est écroulé dans son jardin avant d’être pris en charge par les sapeurs-pompiers.
Les chirurgiens ont diagnostiqué deux petits arrêts cardiaques et ont débouché un stent pour rétablir la circulation sanguine. Jean-Pierre Foucault a été admis en soins intensifs à l’hôpital Nord de Marseille.
Après une semaine d’hospitalisation, l’animateur de 75 ans a passé trois semaines en rééducation à l’hôpital Léon Bérard de Hyères, où il a salué l’attention et le professionnalisme des équipes médicales. Il a également révélé qu’il avait des stents depuis 2019.
Il souligne que les équipes de Hyères ont fait preuve d’une attention sérieuse et constante. Jean-Pierre Foucault était donc à Hyères.
Depuis son retour à domicile, Jean-Pierre Foucault se repose et travaille très peu chaque jour. Il a conclu en précisant que son secret était de travailler une minute et demie par jour.
Le double arrêt cardiaque de Jean-Pierre Foucault a suscité l’inquiétude de ses nombreux fans et de ses collègues. Les réseaux sociaux ont été inondés de messages de soutien pour l’animateur, qui a déjà repris le chemin de la guérison.
Après avoir été hospitalisé pendant une semaine et avoir suivi une période de convalescence de trois semaines à Hyères, l’animateur Jean-Pierre Foucault prend désormais du repos. Il a également révélé qu’il ne travaillait qu’une minute et demie par jour, dévoilant ainsi son secret.
