Un adolescent à Antibes est mis en examen après la découverte de ses plans pour une tuerie de masse.
Antibes tuerie – CREDIT : VarActu
Découverte alarmante à Antibes
Un jeune de 16 ans, résidant à Antibes dans les Alpes-Maritimes, a été formellement accusé et placé en détention provisoire suite à des soupçons graves de préparation d’une tuerie de masse dans un lycée local. Les autorités, alertées par ses propos troublants rapportés par un pédopsychiatre, ont lancé une enquête qui a rapidement dévoilé un arsenal inquiétant et des plans détaillés pour un acte de violence majeur.
Les premiers signes d’alerte
Le conseil départemental des Alpes-Maritimes a été le premier à signaler le comportement préoccupant de l’adolescent, d’origine turque et connu pour des troubles psychiatriques, évoquant un risque imminent de passage à l’acte violent. Cette révélation a conduit à son hospitalisation d’urgence et à l’ouverture d’une enquête pour apologie du terrorisme.
Preuves accablantes retrouvées
La perquisition de son domicile a révélé non seulement des symboles haineux, tels que des croix gammées, mais également des carnets contenant des descriptions détaillées de son plan meurtrier. Les objets saisis incluaient aussi des armes blanches et un gilet tactique, accentuant l’urgence de la situation.
Connexion avec une complice présumée
Les investigations ont ensuite mis en lumière une connexion avec une jeune fille de 17 ans, également aux prises avec des troubles psychiatriques et apparemment en accord avec les intentions meurtrières de l’adolescent. Elle a été arrêtée et hospitalisée sans son consentement à la suite de ces découvertes.
Évaluation psychiatrique du suspect
Une expertise psychiatrique a révélé que le jeune homme, bien qu’ayant des opinions extrémistes et haineuses, était jugé apte à répondre de ses actes devant la justice. Cette évaluation sera cruciale pour la suite des procédures judiciaires à son encontre.
Poursuite de l’enquête
L’affaire, toujours en cours d’instruction à Grasse, reste sous la juridiction locale malgré l’intérêt du parquet national anti-terroriste. Les prochaines étapes du processus judiciaire devront déterminer l’étendue de la responsabilité pénale de l’adolescent au regard de ses troubles mentaux.