Entre célébrité et tradition, la résidence secondaire de Kendji Girac à Sanary-sur-Mer, un véritable havre de paix pour le chanteur et sa famille.

Kendji Girac Sanary-sur-Mer

Kendji Girac Sanary-sur-Mer – CREDIT : Var Actu

Loin de l’agitation des scènes musicales sur lesquelles il se produit, Kendji Girac trouve refuge dans sa maison secondaire à Sanary-sur-Mer, une révélation qui montre une autre facette de sa vie. En effet, le chanteur, récemment victime d’un grave incident, possède plusieurs propriétés, dont cette résidence dans le Var qui lui tient particulièrement à cœur.

Une résidence loin des projecteurs

La maison de Sanary-sur-Mer est plus qu’une simple résidence secondaire pour Kendji ; elle symbolise un lieu de rassemblement familial et un retour à ses racines. Après avoir vécu cinq ans dans cette ville côtière, il y a établi des liens durables, faisant de cet endroit un véritable sanctuaire personnel et familial. Chaque été, Kendji et ses proches s’y retrouvent pour des moments de détente loin des regards.

Une épreuve qui rappelle la vulnérabilité

La récente agression subie par Kendji, lors de laquelle il a été grièvement blessé à Biscarrosse, rappelle que malgré la célébrité, la vie peut basculer à tout moment. Transporté en urgence à l’hôpital de Bordeaux, le chanteur a heureusement survécu et ses jours ne sont plus en danger. Cet incident a jeté une lumière crue sur sa vulnérabilité en tant que figure publique.

La caravane : un symbole de ses racines

En dépit de son succès, Kendji reste profondément attaché à ses origines. Dans diverses interviews, il a exprimé son attachement pour sa caravane, véritable symbole de son identité et de sa culture gitane. Même avec ses maisons en Dordogne et sur la Côte d’Azur, il conserve ce lien avec son héritage, prouvant que sa renommée n’a pas altéré son mode de vie traditionnel.

Cette maison à Sanary-sur-Mer, ainsi que son mode de vie nomade, illustrent la manière unique qu’a Kendji de concilier célébrité et tradition, prouvant qu’il est possible de rester fidèle à soi-même malgré les feux de la rampe.